Ce que Maîtresse VEUT… suite 001
Lorsque j’ai été marqué et mis en cage, je suis entré brusquement dans l’ « Ordre Nouveau »…
Maîtresse m’a dit que ma Femme serait bien traitée et que mes enfants aussi…
Par après j’ai appris que mon épouse avait été achetée par un couple de Maîtres et qu’elle devrait Les servir. C’était une chance pour elle de n’avoir pas été prise par un recruteur. Les femmes blanches, très souvent, finissaient comme « femmes de confort », dans les Communautés ou autres Associations sportives. Elles passaient de mains en mains, se faisaient engrosser parce que les Maîtres les considéraient comme des femelles d’aisance.
Ils ne prenaient aucune précautions et les avortements étaient nombreux. Les petits qui étaient gardés en vie, allaient grossir les rangs des futurs esclaves métisses, les « petits gris » qui seraient l’essentiel de la population de demain.
Les culs-blancs étaient interdits de procréation entre eux. Simplement les contacts sexuels entre blancs de sexes différents étaient prohibés et très durement sanctionnés.
Les mâles culs-blancs était placé en chasteté totale, soit par pose d’une cage emprisonnant définitivement leurs sexes, ou par ablation des testicules, selon les décisions de leurs Maîtresses…
les femelles quant à elles servaient sexuellement tout au long de leur vie… leurs Propriétaires, les Supérieures Noires, mais aussi les Mâles Noirs. Elles étaient tenues à satisfaire pleinement, quelle que soit la pratique imposée.
Dans l’Ordre Nouveau, ma place était clairement définie : j’étais au plus bas étage, un mâle cul-blanc.
C'est-à-dire pas grand-chose et je devais en avoir une conscience aigüe si je voulais rester en vie.
Cela avait au moins le mérite d’être simple… je devais respect et obéissance à toute autre personne rencontrée, qui était le plus souvent une Supérieure ou un Maître… Mis à part les autres larbins culs-blancs, n’importe qui pouvait me commander, m’utiliser ou se faire servir…
je dis à part les autres esclaves blancs, mais ce n’est qu’en partie vrai, car dans les blocs ou nous étions parqués pour la nuit, la force physique faisait régner l’ordre entre larbins…
les biscoteaux remplaçaient trop souvent les principes de solidarité.
Les plus musclés mangeaient à leur faim, les fluets finissaient les restes.
je ne mangeais pas tous les jours, et, j’avoue, avoir dormi par terre très souvent, éjecté d’un lit par un plus puissant…
je pouvais être puni, utilisé, frappé ou humilié même par une femelle cul-blanc sans pouvoir m’y soustraire…
nous, les mâles culs-blancs, nous étions considérés comme une sous race sans plus aucun droit. Nous étions mis au travail obligatoire et à toutes les corvées de la communauté. Intimité, temps libre, loisir, culture, confort, une grande quantité de mots avaient perdu tout leur sens pour nous. nous devions être nus, serviles, ouverts et disponibles 24h/24, chaque jour de l’année… nous devions courir pour montrer notre ardeur, accepter les brimades, les coups… je suis ainsi rapidement devenus un déchet parmi d’autres.
nous avions été dressés sérieusement pour cela. Un véritable formatage cérébral, laissant aucune place à la pensée individuelle et à l’interprétation des Ordres.
Nous étions, d’ailleurs, rappelés en stage de discipline de façon régulière et refaisions tout le parcours de dressage à l’accéléré.
je reviendrai ultérieurement sur cette période de ma vie.
je suis devenu un bon larbin. je sais ramper. je n’ai plus aucune dignité, je n’ai plus d’égo… j’aime obéir aux Femmes Noires, mais aussi à Leurs Hommes, les vrais, Ceux qui en ont et savent s’en servir…
je suis un parfait cul-blanc, poussant la serpillère, à quatre pattes, dans la maison de ma Propriétaire…
( à suivre )
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