DEESSES NOIRES...
Femmes Noires toujours Supérieures...
petit esclave blanc humble et tremblant,
pour Les servir...
Ce que Maîtresse VEUT…
Les soumis s’imaginent qu’une Femme va s’occuper de leurs petites libidos, leur apporter les gâteries qu’ils recherchent et qu’Elle va S’investir dans leur sexualité, déviante ou pas…
Les soumis s’imaginent qu’une Femme caressera leurs fantasmes, puis, leurs petits appétits sexuels satisfaits, attendra qu’ils redeviennent en demande…
Les soumis ne comprennent pas les Femmes Dominantes et puis s’étonnent des Décisions qu’Elles prennent lorsqu’ils viennent s’agenouiller devant Elles…
j’ai beaucoup fantasmé sur le Pouvoir des Dominatrices… sur le Pouvoir que « je » Leur attribuais et sur l’expression de ce Pouvoir que j’espérais sur moi…
je m’imaginais l’esclave de ce Pouvoir, j’imaginais la façon dont il s’exercerait sur moi…
… et tout le Plaisir que j’en retirerais…
j’étais un imbécile et je sais maintenant que je le resterai toujours devant Elles…
je n’avais rien compris aux Femmes et à Leur Supériorité…
je sais un peu mieux, maintenant que je ne suis plus rien…
Maîtresse m’a pris…
je L’ai beaucoup suppliée pour cela…
j’ai demandé et redemandé à devenir Son esclave…
je L’ai suppliée chaque jour… aiguillonné par Son silence, j’ai promis tant de choses que je n’aurais même pas dû proposer…
Maîtresse m’a laissé griller très longtemps dans mon impatience, me laissant descendre toujours un peu plus dans mes promesses d’abandon…
Maîtresse m’a fait ramper, me regardant me vautrer dans mon désir et dans l’offrande de moi-même… ma bêtise n’a eu aucune limite…
j’avais trouvé la Femme de mes rêves… LA Belle Africaine aux Yeux verts et aux pommettes hautes, à la Bouche gourmande, aux Jambes infinies… Celle dont la Grâce naturelle caressait mon désir à chaque mouvement…
… une Panthère Noire… féline à souhait… !
j’avais tellement peur de La perdre… peur qu’Elle trouve un autre mâle, plus beau, plus jeune, plus riche… plus dévoué…
… sous l’effet de la concurrence j’ai été dirigé jusqu’au fond de l’abnégation…
… et lorsque j’ai été mûr, prosterné à Ses Pieds, abandonné à Sa Volonté… tremblant d’angoisse et du besoin de me donner à ELLE…
… lorsque j’ai été ouvert totalement jusqu’à la complète déchirure de mon égo…
… et que je Lui ai demandé de me pénétrer d’Elle…
… alors, il Lui a suffi de me dire « abandonne tout et viens Me servir puisque c’est ce que tu souhaites… »
… et j’ai fait ainsi…
je me suis abandonné en Elle…
rien d’autre n’a compté… qu’ELLE ! … devenue « ma » Maîtresse…
lentement, mais sûrement, j’ai perdu pied dans un quotidien que je n’avais pas anticipé, puis je me suis noyé en ELLE… oubliant complètement ce que je pouvais être pour n’être plus que ce qu’Elle voulait que je sois…
je suis devenu Son esclave…
… pas un complice, pas un « amant », même plus un homme, juste un esclave, une sorte de domestique non rémunéré… pire encore qu’un larbin… SA chose… !!!
Maîtresse m’a donc UTILISE pour ce que je suis…
je ne sais même plus si j’étais consentant, je devais l’être, je suppose, la question n’a sans doute pas été posée de cette façon là…
ma vie est devenue simple, très simple… je ne dis pas « facile », mais « simple »…
Seule Maîtresse comptait…
SON Plaisir, SON Confort, SES Intérêts, avant toute autre considération… !!!
je n’étais là que pour Lui donner tout, ce que je suis, mes forces, mon temps, mon argent, mes attentions… et si je ne donnais pas suffisamment vite, Elle prenait…
non, sans désagrément pour moi, juste punition pour ma lenteur à La satisfaire…
Oui, là est LA Règle essentielle : l’esclave DOIT SATISFAIRE sa Maîtresse Propriétaire, coûte que coûte… !!!
Commander l’ennuyait, je devais donc ANTICIPER… anticiper Ses Ordres, Ses Besoins, Ses Envies…
j’ai vite compris que moins j’existais en dehors de ma fonction servile et mieux cela valait pour moi…
un esclave ne doit jamais être un poids, un obstacle, un désagrément, une réprobation, même latente… il ne doit jamais être une gène… l’esclave est un outil, une sorte de robot ménager, et Maîtresse en dispose pleinement…
la plupart du temps… !!!
L’esclave doit fournir les services sans faire attendre… sans même qu’ils soient commandés… il répond aux routines auxquelles il a été plié, il doit s’appliquer à améliorer sa servilité en permanence, à se rendre utile à chaque instant, sans rien attendre… la vie en soumission sous une Maîtresse, n’est pas un échange, jamais, la notion d’échange disparaît… l’esclave suit le programme que Maîtresse lui a injecté, point final !
… et l’esclave n’a de ce fait AUCUN mérite et il se garde bien de se prévaloir de quelque avantage que ce soit… l’esclave vit dans sa fonction d’esclave, il est né pour être utilisé sans limite, il n’existe que pour cela, il le sait et le vit complètement…
il arrivait aussi que Maîtresse soit de très mauvaise humeur… il n’était pas toléré que je disparaisse dans ces moments là, non plus…
je devenais Son souffre-douleur, l’exutoire à Sa Colère, Son défouloir…
l’agacement ou la hargne de Maîtresse finissait souvent par m’être attribuée… ce n’est ni juste, ni injuste, cela EST, tout simplement…
Dans ces moments là, tout pouvait arriver… plus encore qu’à l’ordinaire, la crainte de La contrarier était en moi… mais immanquablement, Elle finissait par passer Ses Nerfs sur moi…
je n’aimais pas ces jours là…
pas du tout… !
je prenais sur moi… filant doux, évitant toute réaction intempestive…
d’abord, en silence, mais cela ne durait pas… il fallait toujours qu’Elle suscite la révolte pour pouvoir la mater…
Sa Colère pouvait être parfois très chaude..
Elle S’énervait, auto-alimentait Sa rage et je prenais Ses coups… cela démarrait avec les Gifles, qui sonnaient dans ma tête vide d’esclave… jusqu’à ce que j’aie les joues cramoisies… tout de suite, j’étais à genoux… surtout ne rien dire, ne rien faire, ne pas me protéger, ne pas lever la main… Il ne fallait pas qu’Elle ait à me maîtriser… et je finissais toujours par esquiver un coup… alors Elle dégraffait la boucle de Son ceinturon, le tirait… et Elle me travaillait les fesses sans aucune retenue… l’exercice physique Lui faisait du bien et Sa colère retombait assez vite si j’avais de la chance…
… mais parfois Sa rage était froide… dans ces moment-là, Elle était impressionnante… je le savais vite, Elle m’envoyait chercher la cravache que je Lui présentais à genoux… Elle fixait la chaîne à mes poignets et la passait autour du pilier du salon… il n’y avait plus aucune échappatoire et je savais que je passerais un très mauvais moment…
je déteste la cravache… qui rend si fragile, ma nudité permanente…
je déteste cette cravache qui me force à supplier, à implorer, à quémander un Pardon qui ne m’est jamais accordé… j’ai beaucoup pleuré, maintes fois gémi, je hais la cravache…
je suis douillet… je n’aime pas souffrir… à l’inverse de beaucoup de soumis je ne suis pas un maso physique, mais un maso cérébral… mon plaisir pervers vient de l’humiliation et la douleur ne m’excite aucunement…
je la vis difficilement…
… mais cela ne concerne pas ma Maîtresse… cela Lui importe peu que je sois cérébral ou physique…
Elle me frappe car Elle en a le Droit et je prends Ses coups comme je DOIS le faire…
je suis devenu une lope…
j’avais sans doute de bonnes dispositions pour cela…
C’est difficile de vous décrire ce que je ressens, comment je me vois…
je suis une sorte de trou, de vide, un rien, une chose que Maîtresse a remplie de SA Volonté…
je n’ai plus d’existence propre… je cours du matin au soir… je sers…
j’ai tout oublié… oublié ce que j’ai été, jadis, il y a longtemps… lorsque je travaillais, que j’avais un salaire, que j’achetais des maisons, que je roulais en Mercédès, que j’amassais de l’argent… je brillais, je me souviens, oui, je brillais…
Maîtresse m’a aidé à oublier cette vie inutile… je vis pour Elle depuis tant d’années… je suis pauvre, inconnu, dépouillé de tout ce qui m’est devenu superflu… ma vraie vie est maintenant entre Ses Mains, à Son service…
je me souviens maintenant, j’ai eu une épouse et des enfants… Elle était blonde… avec des Yeux bleus…
Au début, nous avons tous vécu ensemble… Étonnamment, Maîtresse appréciait aussi ma Femme… Elles dormaient ensemble très souvent et moi, je couchais au pied du lit.
Les enfants continuaient à aller à l’école… enfin nos deux petites Filles… le petit gars restait souvent à la maison à apprendre à coudre… il aimait bien cela, jouer avec la machine à coudre…
Puis un jour ils étaient tous absents et ils ne sont jamais rentrés…
Maîtresse a dit que c’était à cause de l’Ordre Nouveau…
Lorsque j’ai été marqué et mis en cage, je suis entré brusquement dans l’ « Ordre Nouveau »…
( à suivre )
Ce que Maîtresse VEUT… suite 001
Lorsque j’ai été marqué et mis en cage, je suis entré brusquement dans l’ « Ordre Nouveau »…
Maîtresse m’a dit que ma Femme serait bien traitée et que mes enfants aussi…
Par après j’ai appris que mon épouse avait été achetée par un couple de Maîtres et qu’elle devrait Les servir. C’était une chance pour elle de n’avoir pas été prise par un recruteur. Les femmes blanches, très souvent, finissaient comme « femmes de confort », dans les Communautés ou autres Associations sportives. Elles passaient de mains en mains, se faisaient engrosser parce que les Maîtres les considéraient comme des femelles d’aisance.
Ils ne prenaient aucune précautions et les avortements étaient nombreux. Les petits qui étaient gardés en vie, allaient grossir les rangs des futurs esclaves métisses, les « petits gris » qui seraient l’essentiel de la population de demain.
Les culs-blancs étaient interdits de procréation entre eux. Simplement les contacts sexuels entre blancs de sexes différents étaient prohibés et très durement sanctionnés.
Les mâles culs-blancs était placé en chasteté totale, soit par pose d’une cage emprisonnant définitivement leurs sexes, ou par ablation des testicules, selon les décisions de leurs Maîtresses…
les femelles quant à elles servaient sexuellement tout au long de leur vie… leurs Propriétaires, les Supérieures Noires, mais aussi les Mâles Noirs. Elles étaient tenues à satisfaire pleinement, quelle que soit la pratique imposée.
Dans l’Ordre Nouveau, ma place était clairement définie : j’étais au plus bas étage, un mâle cul-blanc.
C'est-à-dire pas grand-chose et je devais en avoir une conscience aigüe si je voulais rester en vie.
Cela avait au moins le mérite d’être simple… je devais respect et obéissance à toute autre personne rencontrée, qui était le plus souvent une Supérieure ou un Maître… Mis à part les autres larbins culs-blancs, n’importe qui pouvait me commander, m’utiliser ou se faire servir…
je dis à part les autres esclaves blancs, mais ce n’est qu’en partie vrai, car dans les blocs ou nous étions parqués pour la nuit, la force physique faisait régner l’ordre entre larbins…
les biscoteaux remplaçaient trop souvent les principes de solidarité.
Les plus musclés mangeaient à leur faim, les fluets finissaient les restes.
je ne mangeais pas tous les jours, et, j’avoue, avoir dormi par terre très souvent, éjecté d’un lit par un plus puissant…
je pouvais être puni, utilisé, frappé ou humilié même par une femelle cul-blanc sans pouvoir m’y soustraire…
nous, les mâles culs-blancs, nous étions considérés comme une sous race sans plus aucun droit. Nous étions mis au travail obligatoire et à toutes les corvées de la communauté. Intimité, temps libre, loisir, culture, confort, une grande quantité de mots avaient perdu tout leur sens pour nous. nous devions être nus, serviles, ouverts et disponibles 24h/24, chaque jour de l’année… nous devions courir pour montrer notre ardeur, accepter les brimades, les coups… je suis ainsi rapidement devenus un déchet parmi d’autres.
nous avions été dressés sérieusement pour cela. Un véritable formatage cérébral, laissant aucune place à la pensée individuelle et à l’interprétation des Ordres.
Nous étions, d’ailleurs, rappelés en stage de discipline de façon régulière et refaisions tout le parcours de dressage à l’accéléré.
je reviendrai ultérieurement sur cette période de ma vie.
je suis devenu un bon larbin. je sais ramper. je n’ai plus aucune dignité, je n’ai plus d’égo… j’aime obéir aux Femmes Noires, mais aussi à Leurs Hommes, les vrais, Ceux qui en ont et savent s’en servir…
je suis un parfait cul-blanc, poussant la serpillère, à quatre pattes, dans la maison de ma Propriétaire…
( à suivre )
ma Propriétaire est riche, bien sûr,
Elle vit dans le luxe et profite bien de la Vie de Plaisir
que nous, Ses larbins, nous Lui faisons…
nous travaillons beaucoup… en fait, tout le temps…
nous les petits blancs, nous devons respecter, servir et honorer nos Maîtres Noirs…
C’est l’Ordre Nouveau…
Le temps où les nègres étaient esclaves est fini, terminé…
l’Ordre Nouveau est venu et les petits blancs se sont mis à genoux devant leurs nouveaux Maîtres…
La Nature Leur a donné raison sur nous…
Les petits culs blancs maintenant savent…
ils sont les vrais inférieurs…
ils se prosternent,
ils travaillent sans relâche,
ils se taisent et obéissent…
tous les petits blancs sont maintenant à la disposition des Maîtres…
ils ont intérêt à Les satisfaire…
mâle ou femelle, en tant que blancs, sont tous à la disposition des Maîtres…
L'esclave, immatriculé MFAB-170346-ppttA, appartient à Maîtresse LYRAH, sa Propriétaire.
Inscrit au Registre Fetlife sous le lien suivant : link
Maîtresse a invité Son esclave à venir La servir, comme domestique, durant Ses Vacances, la dernière semaine de juillet.
Alors que Maîtresse tentait vainement de lui faire comprendre ses erreurs, l'esclave s'est rebellé et s'est révélé agressif et de mauvaise foi, ... comme c'est souvent le cas lorsqu'un individu mâle est forcé de reconnaître ses erreurs.
Affronter une Femme Supérieure n'est jamais bon pour un esclave et Maîtresse LYRAH ne le tolère pas, évidemment...!
C'est encore plus vrai lorsque cette Femme Supérieure est une Déesse Noire !
La lope pépette a quitté Maîtresse LYRAH sans avoir repris ses esprits et l'affaire est restée dans l'affrontement.
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